Marc Copland Trio featuring John Hebert and Colin Stranahan

Marc Copland – Piano

John Hebert – Contrebasse

Colin Stranahan – Batterie

Il est difficile de le considérer comme un vieux, mais le pianiste et compositeur Marc Copland, né en 1948, produit des sons comme nul autre pianiste depuis le milieu des années 1970. Sa production à titre de leader est stupéfiante : plus de 40 CD acclamés par la critique, en solos, en duos, en trios, en quatuors et en quintettes. Sur ses albums, enregistrés sur plus de dix étiquettes différentes, il fait appel à de célèbres musiciens du jazz d’hier et d’aujourd’hui, notamment John Abercrombie, Ralph Alessi, Joey Baron, Mike Brecker, Randy Brecker, Dennis Chambers, Mark Ferber, Billy Hart, Dave Liebman, Victor Lewis, Joe Lovano, Greg Osby, Gary Peacock, Bill Stewart, Robin Verheyen et Ken Wheeler.

Mais si vous pensez que Copland est un musicien âgé qui a ralenti, qui a cessé de se perfectionner et qui se repose simplement sur ses lauriers, vous ne pouvez pas vous tromper davantage. « Je n’ai jamais rien vu de tel », déclare le saxophoniste Robin Verheyen. « Il est une source d’inspiration, il trouve sans cesse de nouvelles idées et de nouveaux sons. C’est le genre d’énergie et d’évolution que l’on attend de quelqu’un qui est dans la fleur de l’âge. Et il n’est pas seulement un musicien important avec une approche et un son si distinctifs, vous ne trouverez nulle part un meilleur accompagnateur. » Après des années d’enregistrement sur plusieurs des meilleures étiquettes au monde, dont Challenge, ECM, Hatology, Nagel-Heyer, Pirouet, Savoy, Sketch, Soul Note, Copland fait le grand saut en 2016 et lance sa propre étiquette, innerVoice Jazz.

Des décennies de concerts dans des dizaines de pays ont conféré à Copland le statut de maître de son instrument. Des critiques du monde entier en font son éloge :

« Copland est un génie... Personne n’a jamais travaillé avec autant de finesse et de succès, avec un toucher aussi subtil et une telle profondeur harmonique, et n’a créé une beauté aussi stupéfiante. – Dan McClenaghan, rédacteur en chef, allaboutjazz.com

« Choix du rédacteur en chef » – DownBeat

« CHOC » (la meilleure note, y compris pour ses trois derniers albums) – Jazz Magazine (France)

« 5 étoiles » – Rondo (Allemagne) et Neue Zuricher Zeitung (Suisse)

« CD du mois » – Stereoplay (Allemagne)

« Sans aucun doute, l’un des meilleurs disques pour quatuor de ces derniers temps. » – Philippe Vincent, Jazz Magazine (France)

« Copland est l’un des meilleurs pianistes dans l’histoire du jazz, le plus grand poète du piano depuis Bill Evans. On ne saurait mieux dire. » – Serge Truffaut, Le Devoir (Québec)

« Pianiste de l’année 2020... le roi de l’harmonie. » – Arnaldo de Souteiro, JazzStation (Brésil)

« Marc Copland est le maître magicien. On pourrait arguer qu’il surpasse (Bill) Evans. » – Dan McClenaghan, allaboutjazz.com

Né à La Nouvelle-Orléans, en Louisiane, John Hébert est l’un des contrebassistes les plus actifs de la scène new-yorkaise et fait des tournées dans le monde entier au sein de nombreux groupes de jazz de premier plan. Il joue notamment avec Andrew Hill, Lee Konitz, Paul Bley, John Abercrombie, Uiri Caine, Marc Copland, Fred Hersch, Mary Halvorson, David Liebman, Paul Motian, Greg Osby, Maria Schneider, Bill Stewart et Toots Thielemans. Copland, dont la carrière comprend de longues et étroites collaborations avec les légendaires contrebassistes Gary Peacock et Drew Gress, cite Hébert non seulement comme un contrebassiste de haut niveau, mais aussi comme un talent quelque peu particulier. « John a un niveau d’intuition, une sorte de radar et une capacité à changer de direction en un clin d’œil, ce qui est assez singulier dans le monde du jazz d’aujourd’hui. »